Tutoriel : installer et configurer un serveur NAS4Free

1. Introduction

2 Installation du système sur le serveur

3. Configuration du système

4. Accéder et utiliser enfin le NAS depuis un poste client

5. Conclusion

 

1. Introduction

1.1 But du tutoriel

Le but du tutoriel est de créer un serveur NAS ou pour faire plus simple, d’avoir un ordinateur qui met à disposition de toutes les machines sur le réseau les films et les séries que vous avez téléchargés comme des gorets et que vous ne regarderez jamais, ou n’importe quel autre type de fichiers.

1.2 Pourquoi avoir choisi NAS4Free ?

Des distributions de NAS il en existe des tas, parmi les plus connues on trouve notamment FreeNAS. La distribution sur laquelle portera le tuto s’appelle NAS4Free. Je vous épargne les détails et querelles de boutonneux barbus, mais en gros FreeNAS est maintenant exploité par une société commerciale et NAS4Free est la continuation du projet initial. Ce qui m’a surtout fait pencher pour Nas4Free c’est que dans leurs dernières versions réciproques Nas4Free est beaucoup moins gourmand en ressources machines et comme je suis à la fois radin et mal payé, j’avais choisi d’utiliser un vieux PC de 5 ou 6 ans d’age et d’y coller tous les disques durs que j’avais sous le main afin d’avoir la plus grande capacité de stockage possible.

1.3- La configuration matérielle

NAS4Free a 2 avantages sur le plan matériel :

  • Il est peu gourmand en ressources, la machine que j’ai utilisée dispose d’un CéléronD à 3Ghz et comme j’avais de la RAM sous la main je l’ai montée à 3 GO de RAM;
  • Il accepte tous les types de stockage sans broncher : j’ai pu lui coller 4 disques en SATA, 2 en IDE et 3 en USB.

Au delà de ma petite vie, certes passionnante et pleine de rebondissements, ce que je veux montrer c’est que NAS4Free peut très bien s’accommoder d’une matériel de récupération.

Le temps de l’installation je vous conseille également d’avoir un lecteur CD même s’il est possible d’utiliser une clé USB.

2 Installation du système sur le serveur

2.1 Téléchargement de l’ISO

La première chose à faire va être de récupérer sur le site de NAS4Free, l’image ISO qui va permettre l’installation du système. La page de Download du site est ici, et actuellement la dernière version est la 9.1.0.1.636. Attention, par défaut la version proposée sur cette page est la mise à jour depuis une version précédente. Pour récupérer la version ISO qui permettra de faire une installation depuis zéro il va falloir cliquer le bouton vert  DOWNLOAD from sourceforge.org:

Là enfin, on va pouvoir récupérer notre fameuse ISO que l’on gravera sur un CD avec son logiciel de gravure préféré, ImgBurn en ce qui me concerne a parfaitement fait l’affaire.

2.2 Démarrer le serveur sur le CD ROM

Lorsqu’on boot sur le CD Rom après le démarrage  s’affiche un ménu qui contient 9 propositions.

Pour faire l’installation nous allons choisir la dernière : Install/Upgrade NAS4Free from LiveCD/LiveUSB

2.3 Choix du support

La fenêtre qui s’affiche est la suivante :

Mauvaise nouvelle pour les indécis, il va falloir choisir entre :

  1. Mettre le système du NAS sur un disque dur ou sur une clé USB
  2. Installer le système avec une partition de swap ou pas

Quelques éléments pour vous aider dans ces douloureux choix. Si vous choisissez un disque dur ce disque ne pourra pas être utilisé pour stocker des données et il vous bouffera un port SATA ou IDE.

Si vous choisissez une clé USB, le démarrage sera beaucoup plus lent. C’est même parce que je trouvais le démarrage particulièrement lent que je suis passé au disque dur. Il faudra aussi que votre BIOS soit capable de booter sur un périphérique USB sans passer par le menu de boot.

En ce qui concerne la partition de swap, de ce que j’ai lu sur le forum de NAS4Free qu’elle n’était utilisée que très marginalement. Dans ce tutoriel nous allons choisir l’option 1: Install ‘embedded’ OS on CF/USB Flash Drive or Hard Drive.

2.4 Copie des fichiers d’installation

Après un écran d’accueil la fenêtre suivante s’affiche :

Cette fenêtre demande la source d’installation et normalement c’est donc le CD Rom qui est proposé. La fenêtre qui suit et qui est celle de destination est plus intéressante :

Dans ma copie d’écran je n’ai que 3 disques dur. Je dois donc choisir entre eux. A noter pour les non linuxiens que si j’avais des périphériques USB ils apparaitraient comme DA0, DA1,…

Vous pouvez prendre le plus petit de vos disques ou une clé USB d’1 petit giga.

En quelques dizaines de secondes le système est installé. Vous pouvez ensuite retirer le CD ROM et même retirer le lecteur pour gagner un emplacement pour un disque dur supplémentaire. Redemarrer ensuite le serveur en bootant sur le support sur lequel vous venez d’installer NAS4Free.

2.5 Configuration du réseau

Au redémarrage du serveur on se trouve sur le même menu qu’après avoir booté sur le CD ROM.

Mais cette fois nous allons choisir de configurer le réseau. Ce sera donc le choix numéro 2 :  Configure Network IP Adress. C’est du grand classique, dans un premier temps on choisit  si l’on veut du DHCP ou de l’adressage fixe :

Si l’on a choisi du fixe, il faudra configurer une adresse IP, un masque et éventuellement une passerelle (si vous avez du routage à faire) et un DNS si vous avez besoin de résoudre des noms de machine.

A l’issue de la configuration on vous propose de configurer le réseau en IPV6, il faut en avoir l’utilité et en être capable ce qui n’est doublement pas mon cas. A l’issue de l’initialisation du paramétrage réseau, le message vous indiquant que le serveur est maintenant accessible depuis le l’interface web doit s’afficher :

Et voilà c’est fini ! Le serveur est maintenant installé. Vous pouvez ranger l’écran, le clavier et la souris (qui d’ailleurs n’a servi à rien) et laisser le serveur tourner dans son coin. On a fait la moitié du boulot.

2.6 Pause – Récréation – Récompense

Pour fêter ça et avant de passer à la configuration du système, nous avons bien mérité une pause en appréciant la finesse des courbes de cette jolie femme, c’est vrai il n’y a pas que l’informatique dans la vie (je vous conseille d’ailleurs un double clic pour l’admirer en plein écran).

 

3. Configuration du système

3.1 Connexion à la console d’administration

La suite va se passer sur la console web, c’est à dire depuis n’importe quelle machine du réseau depuis un navigateur avec l’adresse IP que vous avez choisie. Exemple : http://192.168.23.128/

Dans la fenêtre qui s’affiche une identification est demandée :

Par défaut ce sera :
Username : admin
Password : nas4free

3.2 Franciser l’interface

Une fois connecté, la première chose que nous allons faire va être de franciser l’interface. Ca se passe dans l’onglet System => General

Puis dans la partie WebGUI, positionner Language sur French :

ensuite cliquer su Save en bas de la page :

l’interface est maintenant en français, c’est magnifique !

3.3 Configuration des disques

3.3.1 Raid or not Raid ?

Avant de configurer les disques, il va falloir vous demander ce que vous voulez en faire de votre NAS. En fait ça aurait été astucieux de vous poser la question avant de commencer à suivre ce tuto mais enfin là, il faut vraiment s’interroger.

Raid or not raid that is the question ! Si c’est un serveur de production que vous installez le RAID me semble être indispensable. Cela dit il faudra alors s’interroger sur la pertinence du RAID logiciel dans le NAS plutôt que du RAID matériel sur le serveur lui même. Dans mon cas, ce sera un serveur de sauvegarde, avec des disques durs aux tailles très différentes et si l’un de ses disques lâchait je serais bien incapable de le remplacer par un disque de taille identique, donc pas de RAID pour moi. Si vous décidez de mettre vos disques en RAID au moment de formater les disques il faudra les formater pour le RAID, et ensuite il faudra formater la grappe RAID que vous aurez crée avec vos disques. Pour le reste des opérations ce sera semblable à ce qui suivra dans ce tutoriel. Dernier point, de ce que j’ai lu, il est délicat d’ajouter un ou plusieurs disques à sa grappe de RAID. Ca se termine souvent par : je sauvegarde mes données (encore faut-il avoir la place) je casse mon ancien RAID et je le récrée avec mes nouveaux disques.Bref la parenthèse RAID refermée, passons maintenant à la configuration des disques.

3.3.2 Importer les disques

Menu Disques => Gestion

La fenêtre suivante s’affiche :

Dans cette fenêtre nous allons choisir Importer des disques afin que le système nous indique les disques qui sont à sa disposition. Lorsqu’il a fini d’importer les disques la fenêtre suivante (avec vos disques à vous) doit s’afficher :

L’importation des disques est une étape obligatoire. Mais depuis cette fenêtre vous avez la possibilité d’effectuer d’autres opérations . Vous pouvez par exemple supprimer le disque sur lequel vous avez installé le NAS et qui ne pourra pas servir au stockage des données en cliquant sur l’icône suivante :

ou encore renommer vos disques pour leur donner un nom plus parlant du type « disque_photos », ou bien activer les fonctions SMART de surveillance des disques (pour par exemple recevoir un mail en cas de comportement anormal d’un des disques). Ces opérations sont accessibles en cliquant sur l’icône :

3.3.3 Formater les disques

Menu Disques => Formater

  • Choisir le disque à formater (c’est là que ça peut-être intéressant de leur avoir donner un nom usuel à l’étape précédente)
  • Choisir UFS comme système de fichiers ou Software RAID si vous avez choisir de faire du RAID.
  • Cliquer sur Formater le disque.
  • Réaliser l’opération sur chacun des disques dont le serveur dispose.

3.4 Créer des points de montage

Le point de montage est une notion qui est plus connue des utilisateurs barbus et sales du monde Unix/Linux que des gens normaux qui utilisent Windows, regardent des matches de foot et ne savent pas dire non à une jolie fille. Le point de montage est en fait un premier répertoire à créer (ou plutôt à monter) sur un disque et à partir duquel seront accessibles tous les fichiers et dossiers.

Pour créer ce point de montage, se rendre dans le menu Disques => Point de montage

Dans la fenêtre qui s’affiche cliquer sur + pour ajouter un point de montage.

  • Sélectionner le disque.
  • Donner un nom au point de montage
  • Cliquer sur Ajouter

L’opération est à réaliser sur chacun des disques à utiliser. Lorsque tous les points de montage ont été créés il reste à Appliquer les modifications en cliquant sur le bouton éponyme. (oui je suis abonné aux tweets de « Un jour un mot » donc j’emploie à mauvais escient  certains mots en croyant être cultivé) :

3.5 Configuration du CIFS-SMB

Maintenant que les disques sont formatés et disposent d’un point de montage ils sont prêts à accueillir des données. Reste à savoir comment déposer et accéder à ces données, là encore tout dépend de ce que vous voulez faire de votre serveur NAS. Les services que NAS4Free est capable de fournir sont nombreux et accessibles via l’onglet Services. On peut citer parmi les plus connus : serveur web, TFT, TFTP, client torrent, serveur UPnp et d’autres encore dont je ne comprends même de quoi il retourne comme HAST ou UPS.

Dans ce tutoriel nous allons voir la configuration du service de partage de fichiers qui permettra d’accéder via le réseau à des fichiers. Ce service s’appelle CIFS-SMB. Pour le configurer menu Service => CIFS-SMB

Dans la fenêtre cliquez sur Activer en haut à droite, si vous le souhaitez vous pouvez aussi modifier le nom netbios, qui par défaut est nas4free, et modifier le groupe de travail qui par défaut est workgroup. Lorsque le service CIFS-SMS a été activé il faut penser à cliquer sur le bouton en bas de page Enregistrer et redémarrer pour que le service soit effectivement actif.

3.6 Création des partages

Bon les amis,alors, où est-ce qu’on en est comme demanderait Popeye dans les Bronzés font du ski. On en est que maintenant que le CIFS est activé nous avons la possibilité de créer des partages. Pour cela il suffit de cliquer sur l’onglet Partage accessible depuis le menu Services => CIFS-SMB

La fenêtre suivante s’affiche cliquer sur + pour ajouter un partage :

Dans la fenêtre qui s’affiche :

Entrez le nom du partage, un commentaire pour le décrire et cliquer sur les pour sélectionner un chemin d’accès. La fenêtre suivante s’affiche :

On retrouve les points de montage créés précédemment. Il faut choisir celui qui sera associé au partage puis cliquer sur OK.

Les 3 champs obligatoires pour créer un partage sont maintenant crées. Vous pouvez si vous le souhaitez configurer d’autres options comme l’interdiction d’écrire sur le partage ou la création d’une corbeille qui par défaut n’existe pas sous Windows pour les partages réseau. Lorsque la configuration du partage est terminée cliquez sur Ajouter en bas de la page.

Dans la fenêtre qui s’affiche cliquez sur Appliquer les modifications pour que le partage soit effectif.

3.7- Création des utilisateurs

C’est bon on peut maintenant accéder à notre partage ? Et bien non comme Michel Mortez dans Tandem (il faut tendre l’oreille c’est fugace). Il faut encore créer un ou des utilisateurs qui sont autorisés à accéder au partage.

Pour créer un ou plusieurs utilisateurs, menu Accès => Utilisateurs et groupes. Dans la fenêtre qui s’affiche cliquer sur + pour ajouter un utilisateur :

Dans la fenêtre qui s’affiche renseignez les champs Nom et Nom complet et éventuellement le champ Mot de passe si vous voulez qu’un mot de passe soit fourni.

Lorsque c’est fait cliquez en bas de la page sur Ajouter

Pour que l’utilisateur (qui est une utilisatrice) soit réellement créé cliquez sur Appliquer les modifications (c’est toujours le même principe, donc si à ce stade du tutoriel j’ai encore besoin de vous le dire je vous conseille d’essayer la PS3 plutôt que l’informatique) :

 

4- Accéder et utiliser enfin le NAS depuis un poste client

4.1 Entrer l’adresse du NAS

Bon, et bien voilà on a bien travaillé. Notre NAS est tout prêt à accueillir nos fichiers. Pour cela se rendre sur n’importe quelle machine sur le même réseau que le NAS et dans l’explorateur entrer l’adresse IP du NAS précédé dans \\ce qui donne \\ip_du_nas

4.2 S’authentifier sur le NAS

Une fenêtre d’authentification s’affiche, dans laquelle vous allez devoir entrer le nom d’utilisateur et le mot de passe créés précédemment. Si vous ne voulez plus que la machine vous demande de compte pour accéder aux ressources, cochez la case Mémoriser ces informations.

4.3 Copier des fichiers sur le NAS

Et là c’est le miracle ! Notre partage est visible et accessible :

Nous pouvons le remplir avec les photos de la grand-mère qui pique et aussi celles de l’oncle malsain, celui qui voulait toujours vous avoir sur les genoux. Tout cela valait-il tant d’efforts ???

5. Conclusion

5.1 Que se passera-t-il en cas de crash ?

Si c’est un disque de données qui rend l’âme, le serveur continuera de fonctionner. Simplement le partage ne sera plus accessible. Vous pourrez très facilement remplacer le disque et le partager pour à nouveau le gaver de données.

Si c’est le disque dur système ou la carte mère du serveur qui vous lâche, il suffit de réinstaller un système, puis de suivre à nouveau ce précieux tutoriel que vous aurez pris soin d’imprimer et de déposer dans un coffre à la banque c’est plus sur. Pour récupérer vos données il suffira de ne pas formater les disques à l’étape 3.3.3, vous n’en aurez pas besoin puisque les disques seront déjà en UFS. Donc vous les ajouterez, vous créerez un point de montage, CIFS + partage et vos données seront de nouveaux accessibles. Sachez également qu’il existe des utilitaires Windows qui permettent de lire les partitions UFS donc vous pourrez aussi mettre vos disques en esclave sur un Windows ou un Linux mais franchement c’est perdre du temps.

5.2 Qu’en est-il des débits ?

Avec un PC client sous Windows7 et le NAS reliés tous les 2 à une Freebox V5 avec des cables de catégorie 5E, j’avais des débits d’environ 10 MO par seconde (sur des gros fichiers bien entendu). En CPL, avec des Netgear censés faire du 200 Mbits par seconde je suis tombé à 3 Mo/s.

5.3 La consommation électrique

Un serveur c’est sympa mais ça consomme et il me semble vous avoir dit en début d’article que j’étais radin et mal payé. Donc si vous n’en avez qu’un usage ponctuel du NAS pensez au Wake-On-Lan pour ne le démarrer que quand vous en avez besoin. Pour le couper après usage vous avez l’interface :  menu Système => Arrêt En ce qui me concerne comme j’ai la problématique de mes disques durs USB j’ai acheté une prise avec télécommande (25€ dans une enseigne de bricolage qui commence pas Casto et finit par rama) pour démarrer et éteindre le serveur. L’interface permet également de gérer finement l’alimentation des disques voir le point 3.3.2

5.4 NAS4Free dans un environnement professionnel

Si vous êtes dans un environnement de production, enfin dans un truc sérieux quoi, vous pouvez creuser du coté du système de fichier ZFS qui est pris en charge pas NAS4Free. Bon, je n’ai pas tout compris des avantages de ce FS (FS pour File System et pour faire informaticien au top) mais ça a l’air bien, ça permet notamment de gérer les snapshots. Par ailleurs si vous possédez un LDAP ou un Active Directory, vous pouvez les utiliser pour gérer les accès aux fichiers du NAS.

5.5 Le forum…in french

Qu’est ce que je peux encore vous dire ? Ah oui il existe un forum sur le site de NAS4Free, et sur ce forum une section est en français. Vous y trouverez des usagers bien plus pointus que moi qui ne connaissais rien au NAS il y a 8 jours et qui ai du raconter quelques âneries dans ce tutoriel, mais bon, « faisez-en » vous des tutos !

 

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5 réponses à Tutoriel : installer et configurer un serveur NAS4Free

  1. bruno dit :

    Merci john pour ce tuto qui va me permettre de commencer mon projet Free4nas.
    Bon week end

  2. Kaos dit :

    Un grand merci pour ton travail, c’est exactement ce qu’il faut pour faire ses premières armes ;)

    Merci

  3. antho dit :

    Merci ,
    Tuto clair et precis jai pue monter mon premier NAS grâce a toi ^^

  4. BeRaL dit :

    Bonjour,

    Super tuto !
    Autre possibilité pour palier à l’installation du système sur clé USB :
    – Carte mère hybride avec 1 port ATA (ou ultra DMA 133) & 4 ports SATA.
    – Installer le système sur le disque dur ATA (pour ma part 160Gb).
    – Ainsi on bénéficie de 4 ports SATA.
    Le bémol sur cette configuration matérielle est que souvent les cartes mères de cette génération ne reconnaissent pas les disques durs SATA de plus de 1Tb :(

    Sinon ça marche très bien et ça m’a permis de recycler mon vieux PC et mes disques 1Tb.

    Espérant avoir aider ….

  5. Franck dit :

    Un tuto parfaitement clair et en plus avec de l’humour ! Il date de 2013 mais il marche encore ;) Merci donc, j’ai installé (juste pour voir) un petit Nas sur Raspberry Pi avec une clef USB pour tester en suivant tes conseils. Et ça marche !! (et je précise je ne suis ni informaticien, ni linuxien ni plus très jeune).

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